asphalte-et-cumulus
je ne vous connais pas, je vous frôle, là sur le quai, épaule contre épaule
Samedi 2 juin 2007 à 22:43
Quod pertinaciter studes [...] et probo et gaudeo
Illic epulante Britannico
Casu in meridianum spectaculum incidi
et caetera
Je vais dégobiller mon latin à force de le réviser, heu ! (heu = hélas. N'empêche, c'est dingue, je peux maintenant ponctuer mes phrases de mots latins... très utile...)
Lundi 28 mai 2007 à 22:46
Vendredi 25 mai 2007 à 23:10
Euh, je me permet d'intervenir parce que... comment dire... j'ai été averti de la mise en ligne d'un article, que je viens de lire, et qui m'a laissé... pantois! Je sais bien que je devrais me réjouir de ce nouveau post, parce que ça me vaudra peut-être une petite augmentation de salaire, mais je me vois pourtant dans l'obligation de souligner le fait qu'un post comme le précédent peut faire fuir les éventuels visiteurs... Oui, je sais, je sais. Mais je voudrais rappeller que ce blog n'a pas pour vocation d'être visité, puisqu'au départ, il n'avait pas de vocation. En fait, en étant franche avec moi-même, je crois que finalement, il me permet d'écrire certaines choses, et d'avoir la sensation de trouver un lectorat potentiel. Je veux dire par là que la simple écriture destinée à ma seule relecture, comme je l'ai fait pendant longtemps, et comme je continue encore parfois à le faire, ne me suffisait plus. J'ai eu besoin de savoir que quelqu'un pourrait venir me lire. C'est comme ça, chacun son envie d'heure de gloire. Parce qu'évidemment, je pense que ma volonté d'être lue, même sur des sujets débiles et/ou sur des développement d'idées minables, résulte bel et bien d'une envie de reconnaissance. Je n'ai pas plus envie que ça de stopper cette... euh... réflexion, mais j'étais venu pour... Pour me parler de mon post précédent, je sais, oui, je n'ai pas oublié. D'ailleurs, je ne suis pas sûre qu'il fasse forcémet fuir, ce post. Je serais même plutôt d'avis qu'il peut attirer certaines personnes, moi. Certes. Mais il en fera fuir plus qu'il n'en attirera, c'est statistique. Mais ce n'est pas pour ça que j'étais venu. Je voulais faire augmenter le nombre de visites et de commentaires sur ce blog. Question de rentabilité. Et puis il en va aussi de mon avancement et de ma réputation de webmaster. Donc petit conseil : il faut visiter des blogs et y laisser des commentaires. Souvent, on remarque que quelqu'un chez qui on laisse un commentaire viendra visiter le blog de celui qui s'est intéressé à son propre blog, et, par une sorte d'accord plus ou moins implicite, laissera lui aussi un commentaire. C'est comme ça, je n'y peux rien. bon évidemment, ça ne marche pas à tous les coups, mais ça vaut le coup d'essayer... Oui, euh, je vais y réfléchir. Moi je n'irai pas laisser un com n'importe où sous prétexte que ça pourrait m'en rapporter un. Je ne peux pas faire ça, c'est quasiment un achat ! ! Hey, à quoi ça sert de s'offusquer comme ça? Ce sont les règles de la blogosphère, on n'y peut rien, et je n'en suis pas responsable. Je fais mon métier, c'est tout. Je vois, je vois... et bien, merci pour tous ces conseils et toutes ces remarques très utiles... Je sens une pointe d'ironie, je me trompe? ... et bien... non. C'est vraiment idiot, mais je me vois dans l'obligation d'abandonner mon clavier, alors... à bientôt! [comme pour lui même] C'est ça, c'est ça, au plaisir.
Vendredi 25 mai 2007 à 22:17
Quand le bourdonnement incessant du moustique se fait entendre,
Quand on nous parle de double suicide,
Quand un tableau à double entrée doit être construit,
Quand le soleil éclaire les tables de bois,
Quand l'immobile morceau de papier déclenche le fou rire,
Quand les amants de la littérature meurent,
Quand ita ut marque la corélation,
Quand les tomates ont un goût industriel,
Quand la vie proposée aux religieuses n'est pas naturelle,
Quand un militaire marche pieds nus, ses rangers sur les épaules,
Quand le dégoût de n'avoir pas parlé se manifeste par la mauvaise humeur,
Quand le café finit pas être une récompense,
Quand le travail devient abrutissant,
Quand la lecture empêche de penser,
Quand on nous parle de triple suicide,
Quand a z e r t y reprend du service,
Alors finalement, transparaît le néant et naît la transparence,
Alors finalement, le tout devient le rien.
Dimanche 20 mai 2007 à 22:34
<< yesterday