asphalte-et-cumulus

je ne vous connais pas, je vous frôle, là sur le quai, épaule contre épaule

Samedi 3 mars 2007 à 20:06

Salut les gens! (désolée Mickaël Quiroga, je te pique ta formule. c'est parce que j'aime bien...)

En fait je viens vous dire que le webmaster est revenu me hanter. Ca fasait pas mal de temps que je n'avais pas été en contact avec lui (bah oui, faut croire qu'il bosse pas mal en ce moment...), et donc hier, il m'a téléphoné. Je dois dire qu'il était plutôt content. Il m'a dit que techniquement parlant, "problème générationnel" était un bon article. Tenez, je le cite : "Tu vois, là tu as fait exactement ce qu'il fallait faire : tu pars d'un constat simple, tu développes un peu en illustrant par une anecdote personnelle, et le tour et joué. Et puis si ma ma mémoire est bonne, "problème générationnel" est ton premier article avec illustrations, c'est ça...? C'est très bien, ça, les illlustrations ; ça casse la monotonie des textes... surtout des tiens qui sont parfois un peu longs. Oui, vraiment je te félicite."

Pourtant, il faut bien avouer que devant de tels propos, je suis partagée... d'un coté, je suis contente de recevoir des félicitations, parce que n'importe comment, ça fait toujours plaisir. Et puis c'est bon pour l'ego. Mais d'un autre coté, je me dis que si les félicitations viennent de lui, c'est que mon article ne doit pas être si bien que ça, qu'il ne doit pas être conforme à ce à quoi il ne doit pas être conforme (j'adore perdre mes rares lecteurs dans les méandres d'une expression comme celle-ci... si vous n'avez pas compris cette expression par exemple, rappelez-vous qu'il n'y a qu'un moyen de ne pas vous y perdre : toujours suivre ce qui précède)

Cela dit, quand il m'a appelée hier, le webmaster ne m'a pas parlé de mes deux derniers articles. Il n'a pas dû tout lire. Ni tout comprendre, d'ailleurs. Remarquez, ce n'est pas grave s'il n'a pas compris. Moi même je ne suis pas sûre d'avoir entièrement compris ma "métaphore de la tortue". Et alors...!

Jeudi 1er mars 2007 à 22:30

      mourir de honte

         mourir de rire

            mourir de peur

               mourir d'amour

                  mourir d'envie

                     . . .

                        tiens, c'est étrange,

                           quand on meurt, on vit.

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